Voyages Voyages
Chers happy yogis, enfin je prends le temps de vous écrire depuis Bruxelles. Non, je ne vous oublie pas. Après avoir quitté pour de bon ma vie de salariée et…
Chers happy yogis, enfin je prends le temps de vous écrire depuis Bruxelles. Non, je ne vous oublie pas. Après avoir quitté pour de bon ma vie de salariée et…
ૐ
La gestion du stress est une problématique universelle. Mieux, elle est carrément devenue un enjeu économique. Même les entreprises ont compris qu’il était dans leur intérêt d’avoir des salariés détendus et heureux. C’est bon pour la productivité.
Quelques que soient les raisons qui poussent à trouver des solutions à ce fléau des temps modernes, le fait est qu’il est devenu vital de s’y intéresser.
La musique et le yoga sont 2 passions que je fais rarement interagir… Jusqu’à ce week-end en tout cas.
Généralement, lorsqu’arrive le week-end, j’aime bien apporter à ma pratique quotidienne du yoga un peu d’originalité.
Le reste de la semaine, ma petite routine matinale est bien rodée; s’inscrivant néanmoins dans un cadre limité par le temps et les divers impératifs.
Le week-end, en revanche, pas de réveil qui sonne et qui snooz, pas de contrainte de temps, pas d’impératif. J’aime ne rien prévoir, j’ai l’impression que ça me laisse des millions de possibilités et d’opportunités.
Il y a plusieurs mois, on m’a demandé si je voulais bien faire une critique du livre de Rachel Brathen. A l’époque, le livre n’était pas encore dans les bacs, et moi, je ne savais pas qui était cette Rachel. Je me demande aujourd’hui comment j’ai pu passer à côté… A moins d’être paumée dans la toundra du Grand Nord, difficile d’ignorer qui est Yoga Girl. Je sais bien que je suis souvent à la ramasse sur les « yogis influents » – parce qu’en général ça ne m’intéresse pas trop – mais là pour le coup, j’étais sacrément à côté de mes pompes.
Il y a un peu plus d'un mois maintenant, le 13 Avril 2015 exactement, je me suis lancée un défi: Un mois sans viande. Moi qui revendiquais souvent le fait de…
Depuis le temps que je vous bassine avec l’Ayurvéda, les Vata par ci et les Pitta par mi, il devenait urgent de clarifier un peu la chose.
A force d’étudier le yoga, utiliser le jargon de la médecine ayurvédique est devenu une habitude. Deviner le ou les dosha de mon entourage s’avère être un jeu qui m’amuse beaucoup. Et visiblement, il n’amuse pas que moi. C’est ainsi que de plus en plus de personnes autour de moi me demandent régulièrement « Et moi, c’est quoi mon dosha ?« .
Mes chers Happy Yogis,
Aujourd’hui, j’avais envie de vous faire plaisir ! C’est la raison pour laquelle je vous propose de gagner un diffuseur d’huiles essentielles top catégorie !
Testé par mes soins et on-ne-peut-plus validé, je n’ai aucun doute sur le fait que vous allez l’adorer!
D’une valeur de 99,99€, découvrez sans plus attendre toutes ses caractéristiques:
Je baigne dans le yoga depuis plusieurs années maintenant et je me sens à chaque instant bercée par toutes les jolies choses qu’il m’apporte. J’en parle sans arrêt, faisant l’apologie de ses bienfaits auprès de tous. « Le yoga m’a aidé à ci, m’a sortie de ça ». « Le yoga peut t’aider à gérer ci, à comprendre ça. »
Pourtant, depuis plusieurs mois, je vis une situation pénible de laquelle je n’arrive pas à m’extirper et pour laquelle le yoga semble me montrer ses limites.
Très chers lecteurs, croyez-le ou pas mais ces derniers jours, j'ai beaucoup réfléchi. Après la publication de mon billet intitulé "Alimentation et yoga", j'ai reçu beaucoup de commentaires on et…